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Solidaires02.fr
Articles récents

moins de trains....

1 Avril 2018 , Rédigé par solidaires02

moins de trains donc augmenter le trafic routier c'est écologique ?

moins de trains donc augmenter le trafic routier c'est écologique ?

améliorer le quotidien

améliorer le quotidien

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Victoire à Notre Dame des Landes !

17 Janvier 2018 , Rédigé par solidaires.org

NDL

NDL

Maintenant poursuivons la lutte pour l’avenir de la ZAD

Après des décennies de résistance, le projet d’aéroport dans le bocage de Notre Dame des Landes est enfin abandonné. C’est une victoire historique face à un projet inutile, climaticide, néfaste pour l’emploi et la préservation des terres agricole.
Ce résultat est le fruit d’une résistance collective large qui a su faire converger, paysan-­‐nes, habitant-­‐es anciens et nouveaux, élu-­‐es, associations, syndicats, partis politiques localement avec le soutien de nombreuses organisations sur le plan national.
Cette résistance victorieuse montre la voie et renforce la détermination de tant d’autres luttes contre les destructions écologiques et sociales, conséquences des diktats de l’économie libérale et financière.

L’Union syndicale Solidaires, investie dans cette lutte depuis des années, renouvelle son soutien à l’ensemble des composantes de lutte sur la ZAD de Notre Dame des Landes et son opposition à toute tentative d’évacuation de la ZAD.
L’Union syndicale Solidaires appelle à manifester sa solidarité si le gouvernement engageait une telle opération et soutiendra toutes initiatives qui permettront le maintien et la poursuite des lieux de vie de la ZAD qui prennent soin de leurs habitant-­‐es dans toute leurs diversités, du bocage environnant, de sa flore et de sa faune.
La priorité aujourd’hui, est d’ouvrir rapidement une phase de dialogue dans le sens de l’appel lancé par les différentes composantes du mouvement contre l’aéroport et pour l’avenir de la ZAD.

L’Union syndicale Solidaires soutient les bases communes pour l’avenir de la zad établies par l’ensemble des usager.e.s actuel.le.s de ce territoire :

  • la nécessité pour les paysan-­‐nes et habitant-­‐es ayant refusé la vente amiable à AGO-­‐Vinci et étant allés à l’expropriation de pouvoir recouvrer pleinement leurs droits au plus vite ;
  • le refus de toute expulsion de celles et ceux qui sont venus habiter ces dernières années dans le bocage pour le défendre et qui souhaitent continuer à y projeter leurs vies et leurs activités ;
  • une volonté de prise en charge à long terme des terres de la zad par une entité issue du mouvement dans toute sa diversité ;
  • le fait que les terres sauvegardées aillent à de nouvelles installations et pas à l’agrandissement d’exploitations existantes ;
  • la nécessité de continuer à préserver et faire vivre ensemble les patrimoines naturels et agricoles exceptionnels de cette zone.

L’Union syndicale Solidaires appelle à converger vers la ZAD le 10 février pour « Enraciner l’avenir sur la ZAD”. D’ores et déjà, l’Union syndicale Solidaires appel à rejoindre tous les rassemblements de soutien prévus dès aujourd’hui.

enraçinons l'avenir

enraçinons l'avenir

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Lancement d’une campagne nationale contre la répression anti syndicale

12 Janvier 2018 , Rédigé par solidaires national

Lancement d’une campagne nationale contre la répression anti syndicale
Lancement d’une campagne nationale contre la répression anti syndicale

Motion adoptée par le Comité national Solidaires des 10 et 11 janvier 2018.

La répression anti syndicale vise de plus en plus d’équipes et de camarades. Les remises en cause du code du travail, les ordonnances Macron ont accentué un sentiment d’impunité et l’arrogance chez certains employeurs qui se croient tout permis, dans le public comme dans le privé.

Ainsi en Auvergne, la Croix Marine, une entreprise dont la vocation est l’entraide et la solidarité (sic !), a décidé de licencier 3 représentants du personnel SUD Santé Sociaux. Fort heureusement, l’inspection du travail a refusé ces licenciements mais nos 3 camarades restent sous la menace d’une procédure d’appel de la part de leur employeur.

Ainsi, à Poitiers 10 manifestant-es ont été inculpé pour avoir envahi un espace SNCF le 19 mai 2016, lors d’une manifestation contre la loi travail, et sont passé-es en procès le 17 novembre au palais de justice.

Ainsi, une camarade de Sud Travail a été suspendue de ses fonctions et traduite en CAP disciplinaire en décembre 2017 pour faute grave. Il lui était reproché d’avoir « manqué à son devoir de réserve en s’exprimant en tant qu’inspectrice du travail » lors d’un rassemblement syndical organisé par Solidaires et d’autres associations pour protester contre la venue de la « DRH de l’entreprise France » au congrès des DRH.

Ainsi Gaël, secrétaire départemental de SUD Activités Postales 92 et de Solidaires 92, subit un véritable harcèlement disciplinaire : 10 tentatives de licenciement en 14 ans, et presque un an de mises à pied cumulées. La Poste avait en effet tenté de le licencier en 2010 en l’accusant de séquestration alors qu’il avait participé à une occupation de la direction départementale de La Poste : son licenciement avait été refusé successivement par l’Inspection du Travail en 2010, par le ministre du travail en 2011, puis par le tribunal administratif en 2014. Suite à l’annulation de ces décisions , toute la procédure est relancée et c’est de nouveau la ministre du travail qui doit se prononcer.

C’est aussi la répression du mouvement syndical à Mayotte, dans de nombreuses entreprises et ministères (Goodyear, Continental, PSA, Soliha, Air France, Éducation nationale, Intérieur …), du mouvement social (Loïc de Jolie Môme poursuivi par le Medef, Attac poursuivi par Apple ou la BNP, etc.), ce sont donc bien les droits syndicaux élémentaires et la liberté d’expression qui sont bafoués, dans un contexte plus large de criminalisation des mouvements sociaux et de répression des mobilisations.

L’union syndicale Solidaires décide de lancer une campagne contre la répression du mouvement social au plan national et relayée par toutes les fédérations, syndicats nationaux et Solidaires locaux.

Cette campagne s’appuiera sur des campagnes de presse (mise en place d’un communiqué type, d’un dossier de presse et de conférences) et sur les collectifs unitaires et outils existants comme l’observatoire de la répression anti syndicale. Une pétition en ligne sera proposée comme un des supports de cette campagne. Tous les faits de répression (licenciement, sanction, poursuites judiciaires etc...) devront être recensés et communiqués au national par les différentes structures.Cette campagne poursuivra le travail de regroupement des luttes contre les cas de répression dans un cadre militant commun.

Le rassemblement le 6 février 2018 à 19h devant le ministère du travail à Paris pour soutenir notre camarade Gaël et refuser son licenciement sera l’occasion d’un premier temps fort national d’affichage de cette campagne.

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En 2018 plus que jamais dans l’action et les luttes !

1 Janvier 2018 , Rédigé par solidaires02

Voeux union syndicale Solidaires

Voeux union syndicale Solidaires

L’ensemble du Secrétariat national de l’Union syndicale Solidaires adresse à toutes et tous ses meilleurs vœux pour l’année 2018.

Face aux ravages sociaux, démocratiques, écologiques… engendrés par des politiques de riches, injustes, méprisantes et répressives pour toutes celles et tous ceux qui entendent défendre leurs droits et mener le combat pour un autre monde plus juste, plus solidaire, plus humain, notre engagement dans un syndicalisme de transformation sociale prend plus que jamais tout son sens.

Dans un tel contexte, la constitution d’un mouvement social fort et déterminé est une urgence fondamentale.

Que l’année 2018 soit celle d’une mobilisation large et unitaire dans la rue, dans les entreprises et les administrations avec les salarié-es, précaires, chômeur-euses, étudiant-es, retraité-es !

En 2018 plus que jamais dans l’action et les luttes… POUR UNE ANNEE 2018 QUI DEMENAGE !

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Droits humains et multinationales

22 Décembre 2017 , Rédigé par solidaires02

L’UE tente de saboter le processus de négociation onusien pour un traité contraignant garantissant le respect des droits humains par les multinationales

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30 Novembre 2017 , Rédigé par solidaires02

consentement jouir jouissance

consentement jouir jouissance

violences femmes action syndicale solidaires

violences femmes action syndicale solidaires

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Le harcèlement sexuel en 7 questions

30 Novembre 2017 , Rédigé par solidaires02

La loi n° 2012-954 du 6 août 2012 relative au harcèlement sexuel modifie le Code pénal et définit notamment (art. 222-33) le harcèlement sexuel comme « le fait d’imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle qui soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante ». Par ailleurs, « est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d’user de toute forme de pression grave dans le but réel ou apparent d’obtenir un acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l’auteur des faits ou au profit d’un tiers ». 

Quelle protection des victimes et des témoins de harcèlement sexuel ?


Sont interdits toute sanction ou tout licenciement prononcés à l’encontre du/de la salarié-e victime ou témoin. 

Est également interdite toute mesure discriminatoire, directe ou indirecte, concernant le reclassement, l’embauche, la rémunération, la formation, l’affectation, la qualification, la classification, la promotion professionnelle, la mutation. 

Bénéficient de cette protection les candidat-e-s à un emploi, à un stage ou à une période de formation en entreprise et les salarié-es. Ils et elles sont protégé-e-s à l’occasion de l’embauche et tout au long de l’exécution du contrat de travail ainsi que lors de sa rupture. La protection s’étend au salarié qui a subi ou refusé de subir un harcèlement sexuel, ainsi qu’à celui ou celle qui a témoigné de ces faits ou les a relatés. 

Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes parce qu’elles ont subi ou refusé de subir des faits de harcèlement sexuel ou témoigné de tels faits, y compris si les propos ou comportements n’ont pas été répétés. 
 

Quelle obligation de prévention ?


L’obligation générale de prévention de la santé et de la sécurité au travail des employeurs est étendue au risque de harcèlement (article 7 de la loi). L’affichage des définitions du harcèlement est obligatoire sur les lieux de travail, dans les locaux ou à la porte des locaux où se déroule l’embauche. 

Les services de santé au travail peuvent intervenir, notamment sur les dispositions et mesures nécessaires pour prévenir le harcèlement. 

Les délégué-es du personnel peuvent exercer leur droit d’alerte en présence de faits de harcèlement sexuel. 

L’inspection du travail est également compétente pour intervenir. 
 

Victime ou témoin de harcèlement sexuel, quel recours ?


En cas de litige porté devant le juge, le/la salarié-e doit établir des faits qui permettent de présumer l’existence d’un harcèlement. Au vu de ces éléments, il incombe à la partie défenderesse de prouver que ces agissements ne sont pas constitutifs d’un tel harcèlement et que sa décision est justifiée par des éléments objectifs étrangers à tout harcèlement. Le juge forme sa conviction après avoir ordonné, en cas de besoin, toutes les mesures d’instruction qu’il estime utiles. 
 

Et le rôle des organisations syndicales, des associations ?


Soutien, accompagnement dans la constitution du dossier, orientation vers les associations compétentes... L’important est de casser l’isolement et la culpabilité, deux éléments fondamentaux qui permettent au harceleur de détruire la victime : aussi, il ne faut pas hésiter à prendre contact avec les militantes et militants syndicaux. 

Une organisation syndicale représentative dans l’entreprise, avec l’accord écrit du/ de la salarié-e, peut engager à sa place une action devant le conseil de prud’hommes et se porter partie civile devant le juge pénal. 
Une association, avec l’accord écrit du/ de la salarié-e, peut agir devant la juridiction pénale. 


Peu d’enquêtes sont disponibles sur le sujet, mais on estime généralement qu’au travail, le harcèlement sexuel, avances ou agressions sexuelles, frappent 1,9% des salariées. Une fois sur 5, il s’agit d’un supérieur hiérarchique.
Une enquête publiée en février 2008 par l’Insee intitulée "Cadre de vie et sécurité" montre que 4,7% des viols et 25% des agressions sexuelles dont sont victimes les femmes se produisent au travail
 


Quelles sanctions à l’encontre de l’auteur de harcèlement sexuel ?

Toute personne qui commet des actes de harcèlement sexuel encourt le risque d’être poursuivie devant la juridiction pénale à l’initiative du Parquet. La plainte peut être déposée auprès du procureur de la République, du commissariat de police, de la gendarmerie ou du doyen des juges d’instruction du tribunal de grande instance. 

Les faits de harcèlement sexuel sont punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende. 

Ces peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende lorsque les faits sont commis : « par une personne qui abuse de l’autorité que lui confèrent ses fonctions ; sur un mineur de quinze ans ; sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur ; sur une personne dont la particulière vulnérabilité ou dépendance résultant de la précarité de sa situation économique ou sociale est apparente ou connue de leur auteur ; par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice ». 

Le salarié qui commet des actes de harcèlement sexuel est passible d’une sanction disciplinaire prononcée par l’employeur. 
 

Un viol, c’est quoi ?


La loi du 23 décembre 1980 (Art. 222-23 du Code Pénal) a défini le viol comme « tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace et surprise ».
En 1990, la cour de Cassation a fait rajouter à cet article : « n’a d’autre fin que de protéger la liberté de chacun et n’exclut pas de ses prévisions les actes de pénétration sexuelle entre personnes unies par les liens du mariage, lorsqu’ils sont imposés dans les circonstances prévues par ce texte ». Les peines encourues vont de 20 à 30 ans de réclusion criminelle. 
 

Où m’adresser ?


Par des actions concrètes, parfois dans l’urgence, pour protéger la salariée ou la collègue, les organisations syndicales peuvent intervenir. 

Et de nombreuses associations travaillent sur ces sujets et celui des violences faites aux femmes et peuvent accompagner les victimes dans leur démarche. 

Parmi elles, on trouve : 

AVFT (Association contre les violences
faites aux femmes au travail) : 
01 45 84 24 24 
www.avft.org 

SOS Femmes accueil : 
www.sosfemmes.com 
3619 
Appel gratuit et permanence téléphonique
assurée du lundi au samedi de 8h à 22 heures,
les jours fériés de 10h à 20 heures. 

Voir également le site 
www.stop-violences-femmes.gouv.fr 

Collectif féministe contre le viol : 
0800 05 95 95 
www.cfcv.asso.fr

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tarifs des consultations médicales nov 2017

14 Novembre 2017 , Rédigé par solidaires02

À cette date, deux nouveaux tarifs vont s'appliquer :

 
  • -l'un à 46 € pour des consultations dites « complexes » (prise en charge d'une scoliose ou d'un diabète gestationnel, examens obligatoires du nourrisson, première consultation pour la contraception et la prévention des infections sexuellement transmissibles chez les jeunes filles de 15 à 18 ans...) ;
  • -l'autre à 60 € pour des consultations dites « très complexes » (notamment celles visant à informer les patients sur leur traitement en cas de cancer, de maladie d'Alzheimer ou encore de VIH).

  À noter :

La majorité de ces consultations sont prises en charge à 100 % par la Sécurité sociale. Elles bénéficient également de la dispense d'avance de frais dans le cadre du tiers payant, du moins pour les patients bénéficiant du régime d'affections en longue durée (ALD).

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Seniors octobre 2017

14 Novembre 2017 , Rédigé par Source service-public.fr

 Pension de retraite minimum, retraite de base des fonctionnaires, allocation veuvage, retraite du combattant ou encore préretraite amiante. Au 1er octobre 2017, les montants des pensions de vieillesse du régime général ont été revalorisés de 0,8 %. Mais d'autres montants à destination des seniors ont également évolué dernièrement. Service-public.fr rappelle les principales nouveauPension de retraite minimLe retraité du régime général de la sécurité sociale a le droit de percevoir, sous certaines conditions, un montant minimum de retraite (minimum contributif). Pour moins de 120 trimestres cotisés, son montant est fixé à 7 615,94 € par an, soit 634,66 € par mois. Pour 120 trimestres (ou plus), son montant majoré est fixé à 8 322,13 €par an, soit 693,51 € par mRetraite de base des fonctionnaireRetraite des fonctionnaires

Retraite du fonctionnaire :

La pension de retraite de fonctionnaire ne peut pas être inférieure à un certain montant, appelé minimum garanti. Ce minimum est néanmoins ouvert sous conditions. Son montant varie en fonction du nombre d'années de services (1 167,32 € par mois si vous avez au moins 40 ans de service par exemple).

Allocation veuvage

Au décès de votre époux(se), vous pouvez bénéficier d'une allocation de veuvage sous certaines conditions liées notamment à votre âge et à vos ressources. Le montant net de l'allocation veuvage est à ce jour fixé à 607,54 €par mois.

Préretraite amiante

Si vous avez été en contact avec de l'amiante durant votre carrière professionnelle, vous pouvez bénéficier d'une préretraite amiante. Elle ouvre droit, jusqu'à votre retraite, au bénéfice de l'allocation de cessation anticipée d'activité des travailleurs de l'amiante (Acaata) qui est calculée sur la base d'un salaire mensuel de référence déterminé à partir de la moyenne mensuelle des salaires bruts de vos 12 derniers mois d'activité.

 
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SMIC 2017

14 Novembre 2017 , Rédigé par solidaires02

Le nouveau montant horaire brut est porté à 9,76 € au 1er janvier 2017 

À partir du 1er janvier 2017, le smic est à 1 480,27 € bruts mensuels sur la base de la durée légale de 35 heures hebdomadaires.

  Rappel :

La revalorisation annuelle du Smic est liée à l'évolution de l'inflation et des salaires pour les ménages les plus modestes.

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Surendettement : aides pour s'en sortir en 11 fiches

14 Novembre 2017 , Rédigé par solidaires02 Publié dans #droits

11 fiches pratiques actualisées en 2017

Fiche pratique n° 1 : Qui peut déposer un dossier de surendettement ?

Fiche pratique n° 2 : Le dépôt et l’étude du dossier.

Fiche pratique n° 3 : Les effets de la recevabilité du dossier.

Fiche pratique n° 4 : Le traitement des dettes.

Fiche pratique n° 5 : La procédure d’effacement des dettes.

Fiche pratique n° 6 : La procédure de droit au compte (DAC).

Fiche pratique n° 7 : Personnes en situation financière fragile.

Fiche pratique n° 8 : Le délai de grâce (art 1343-5 du Code civil).

Fiche pratique n° 9 : Les fichiers gérés par la Banque de France—FICP.

Fiche pratique n° 10 : Les fichiers gérés par la Banque de France—FCC.

Fiche pratique n° 11 : Contentieux, recouvrement et huissiers de justice.

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La Campagne Sans-Papiers Debout écrit à l’OIT

14 Novembre 2017 , Rédigé par solidaires02

Ci-joint le courrier et la note de la campagne adressée ce jour au Bureau de l’Organisation Internationale du Travail.

Les sans-papiers de Droits Devant !, du Collectif des Travailleurs Sans-Papiers de Vitry, et de la Coordination 93 de lutte pour les Sans-Papiers, les travailleuses et travailleurs Philippins de l’Union des Philippins de France (NPSP), les agents du Ministère du travail par le biais de leurs syndicats SUD et CGT

saisissent officiellement l’Organisation Internationale du Travail pour réclamer la fin du travail au noir par asservissement des sans-papiers.

Toutes et tous ensemble ils se rassembleront le 21 novembre devant le Ministère du travail et, manifesteront jusqu’au BIT Paris, où ils seront reçus en délégation.

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STOP MACRON !

10 Novembre 2017 , Rédigé par solidaires02

Toutes et tous le 16 novembre

en grève et dans la rue

et les jours qui suivront !

 

Alors qu’un nouveau scandale de détournement massif des ressources publiques vient d’éclater au travers des « paradise papers », les attaques du gouvernement du président « des riches » n’oublient rien ni personne. Réforme du code du travail laminant les droits des salarié-es, réforme de l’assurance chômage faisant craindre le pire contrôle des chômeurs et la baisse des allocations, réforme à venir des retraites. Pendant ce temps là, ce même gouvernement attaque les recettes des budgets publics (suppression de l’impôt sur la fortune, baisse du taux d’impôt sur les sociétés, refus d’une taxe sur les transactions financières...), annonce de nouvelles privatisations de services publics et abandons de missions. La liste est longue, puisqu’il supprime aussi nombre de contrats aidés renvoyant toute une population vers la case chômage, qu’il mène des attaques contre la protection sociale avec la suppression des cotisations et l’augmentation de la CSG, qu’il bloque les salaires des fonctionnaires et instaure un jour de carence, sans oublier l’attaque du logement social à travers le coup de rabot aux APL et la sélection à l’université.

 

C’est donc une réponse globale et un rapport de force massif que doit construire le mouvement social.

 

le 16 novembre ensemble

 

Le 16 novembre, à l’appel des organisations syndicales CGT, FO et Solidaires, rejointes par la FSU, avec les organisations étudiantes et lycéennes UNEF, UNL et FIDL, cette nouvelle journée de grève et manifestation contre les ordonnances et les attaques sociales de Macron doit être la plus forte possible. Elle est une étape importante de construction du rapport de force opposé à la nouvelle loi travail et par delà, à l’ensemble de la politique mise en œuvre par le gouvernement. Elle doit être l’occasion d’organiser la grève et la mobilisation dans toujours plus de secteurs, d’entreprises, administrations et services. Il s’agit aussi par les manifestations de rendre plus visible et efficace l’opposition de la majorité de la population aux politiques qui détruisent ses conditions de vie.

 

le 17, le 18, le 20, le 23, le 25... des mobilisations en chaîne

 

Pour faire échec à la politique de Macron, nous devons construire le rapport de force dans la durée. Solidaires appelle donc les salarié-es à se saisir de l’ensemble des mobilisations qui sont inscrites dans les prochaines semaines. Le 16 à l’appel de l’intersyndicale nationale, le 17 en soutien aux camarades qui passent en procès à Poitiers pour avoir lutté contre la loi El Khomri, le 18 novembre à l’appel du Front Social pour une marche sur l’Élysée, le 20 dans le social et le médico-social, le 23 aux finances publiques, le 25 novembre lors de la grande mobilisation des collectifs féministes contre les violences faites aux femmes y compris au travail, le 2 décembre à l’occasion de la manifestation des chômeurs-ses pour leurs droits…

Partout, il est temps d’exiger par la grève comme par d’autres formes d’action collective, le retrait des ordonnances de destruction du droit du travail, mais également plus de salaire, de revenu, de meilleures conditions de travail, de formation, d’éducation, de logement, des services publics pour toutes et tous.

Partout, réunissons les intersyndicales les plus larges possibles dans les secteurs, les entreprises, réunissons les personnels, tenons des assemblées générales pour construire le mouvement social à même de nous faire gagner !

 

Le 16, le 18, le 20, 23, 25 puis le 2 décembre et ensuite…. Toutes et tous ensemble, construisons la lutte, mettons nous en grève, manifestons, convergeons ! Gagnons !

 

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Violences sexistes : notre corps n’est pas un objet !

29 Octobre 2017 , Rédigé par solidaires02 Publié dans #féminisme

Une mobilisation sans précédent a eu lieu ces derniers jours sur les réseaux sociaux contre l’une des formes du sexisme : le harcèlement sexuel. L’ampleur des témoignages démontre ce que nous savons depuis longtemps : plus le sexisme est quotidien et toléré, plus les pré- dateurs se sentent tout permis !

Et ils restent trop nombreux à considérer que le corps des femmes est leur objet, qu’un « non » à leurs « avances » signifie en fait un « oui », qu’elles n’avaient qu’à pas s’habiller comme ça... pour en rester à des exemples qu’on entend encore trop souvent ! L'ampleur des témoignages montre aussi que c'est le plus souvent l'omerta et l'impunité qui priment et cela doit enfin cesser !

Pour l’Union syndicale Solidaires, le travail contre les violences sexistes est associé à notre engagement féministe. Au-delà de la défense des salariées victimes de ces agressions et harcèlements, notre engagement se comprend comme le refus de cette tolérance sociale qui va des inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes aux agressions sexistes, et sexuelles... Pour contrer ce qui relève d’une société encore sous domination masculine, il est indispensable d’agir dans tous les espaces sociaux : famille, école, travail, culture, médias... en développant une éducation non sexiste dès la petite enfance, en interdisant les publicités et autres supports de communication véhiculant des messages sexistes, en appliquant les lois déjà existantes et en les faisant connaître partout !

Pour l’Union syndicale Solidaires, il est indispensable d’avoir une politique globale et pérenne contre les inégalités et stéréotypes de genre, qui ne doit souffrir d’aucune restriction budgétaire ou de moyens humains.

Nous serons de toutes les mobilisations contre les violences faites aux femmes : celles que nos équipes dénoncent au quotidien, en intervenant sur les lieux de travail, ou grâce à des instances que le gouvernement actuel veut supprimer (comme le CHSCT…). Et celles à l’appel des collectifs féministes notamment lors du 25 novembre prochain, journée internationale contre les violences faites aux femmes.

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#BalanceTonPorc à l’inspection du travail… ou pas ?

24 Octobre 2017 , Rédigé par solidaires02 Publié dans #féminisme

#BalanceTonPorc à l’inspection du travail… ou pas ?

Vous trouverez en pièce jointe la lettre ouverte (et annexes) de l’intersyndicale SUD TAS - CGT TEFP - CNT TAS du Ministère du travail à Mmes Pénicaud et Schiappa que nous rendons publique ce jour, au sujet de : 
 L’absence de volonté politique et de moyens pour intervenir sur les questions de harcèlements et agressions sexuelles 
 La mascarade des campagnes pendant que les effectifs fondent 
 La complaisance du ministère avec les agresseurs dans les cas de signalements par les agentes, en interne.

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Nous ne faisons pas partie de la cordée de Macron…

22 Octobre 2017 , Rédigé par solidaires02

Nous ne faisons pas partie de la cordée de Macron…

L’Union syndicale Solidaires a été reçue par le Premier ministre, la Ministre du travail et le Ministre de l’éducation ce mardi 17 octobre.

Cela a été un moment pour affirmer notre exigence de retrait des ordonnances, d’abrogation de la loi El Khomri, mais aussi notre rejet des restrictions budgétaires qui touchent les services publics et exiger le maintien des contrats aidés, des APL et des fonds du logement social.

Pour Solidaires, toute cette politique fait système, elle provoque l’accroissement des inégalités, protège et encourage les nantis. C’est une politique de riches, de mépris pour ceux et celles, fainéant-es, qui foutent le bordel en défendant leurs droits, qui ne sont pas en tête de cordée, ou pas dans la cordée du tout.

Solidaires a réaffirmé ses revendications sur les sujets que le gouvernement présente comme la « sécurité » après la « flexibilité ».

Pour lutter contre le chômage, nous sommes pour la réduction du temps de travail à 32 heures sans réduction de salaire, l’indemnisation des carrières discontinues avec une continuité de droits, un statut du ou de la salarié-e, et bien sûr pour que la discussion sur le régime d’assurance chômage ait lieu avec les principaux-ales intéressé-es à savoir les associations de chômeur-euses qui sont encore une fois exclues du débat.

L’éventuel élargissement du régime d’assurance chômage ne peut pas être le prétexte à une baisse des indemnisations, ni à un renforcement des contrôles dans le seul objectif de radiation de personnes au chômage. Et la taxation des contrats courts ne doit pas cacher les autres méthodes des entreprises et des plus grandes en particulier : ruptures conventionnelles massives pour certaines, ou sous traitance généralisée pour faire reporter sur d’autres la faible durée ou qualité des contrats.

Nous sommes favorables à la formation professionnelle, mais pour qu’elle soit une solution au chômage, elle doit être conçue comme l’exigence pour les entreprises d’adapter les qualifications des salarié-es quand ils et elles sont dans l’emploi, et pas d’agir seulement quand ils et elles ont été licencié-es.

Sur l’apprentissage, nous sommes favorables à une formation professionnelle à destination des jeunes, généraliste, de qualité et assurée dans le cadre de l’éducation nationale.

En tous lieux nous sommes pour renforcer les droits collectifs contre l’individualisation qui au nom de la digitalisation ou d’une généralisation de statuts de faux indépendant-es dégrade la situation de ceux et celles qui travaillent.

L’Union syndicale Solidaires est engagée dans les mobilisations contre les lois travail, leur application et contre les politiques qui les accompagnent. Dans les jours qui viennent de nombreuses initiatives ont lieu, contre le gigantesque plan social que constitue la remise en cause des contrats aidés, contre la baisse des APL, le gel des rémunérations et la baisse des emplois publics, et bien sur et encore contre les ordonnances.Nous travaillons à faire de la mi-novembre un moment de convergence de l’ensemble de ces luttes et nous porterons des propositions à l’intersyndicale dans ce sens. La constitution d’un mouvement social fort et déterminé est une urgence.

Nous sommes ensemble dans la grève et dans la rue

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APL : pas d’économies sur le dos des locataires !

11 Octobre 2017 , Rédigé par solidaires02 Publié dans #droits

Appel commun

Pour une mobilisation le  samedi14 octobre 2017 dans toute la France

Le gouvernement a annoncé son intention de retirer 5 euros par mois sur les allocations logements (APL-AL) par ménage à partir du 1er octobre, soit 400 millions d’euros par an. Cette mesure est injuste car elle touche uniquement les plus modestes d’entre nous, celles et ceux qui ont des difficultés à boucler leurs fins de mois.

Malgré le tollé général, le gouvernement persiste à vouloir réaliser en 2018 des économies, encore plus drastiques sur le budget des APL dans le parc social, à hauteur de 2 milliards d’euros. Prenant ainsi le risque de mettre en grandes difficultés des centaines de milliers de locataires, pauvres ou modestes, qui n’auront jamais les capacités de se reloger par eux-mêmes.

En effet, depuis vingt ans, les loyers et les charges ont progressé bien plus rapidement que les allocations et ressources des ménages à bas revenus. La moindre baisse des APL peut donc entraîner une hausse des impayés de loyers et des expulsions locatives.

Nous, associations de mal-logés, de locataires, d’étudiants, de résidents, de jeunes, de consommateurs, de personnes âgées, d’aide aux personnes défavorisées, de citoyens, syndicats, organisations de bailleurs sociaux avons donc décidé de nous unir contre ces décisions injustes, mais aussi inefficaces au niveau budgétaire à moyen terme, car une personne expulsée ou à la rue devra être prise en charge à un coût parfois bien plus élevé, au plan de l’hébergement d’urgence, de la santé…

Nous demandons solennellement et d’une seule voix au gouvernement de :

  • revenir sur sa décision de ponctionner 5 euros des allocations logement et sur ses projets de coupes budgétaires en 2018 sur les bailleurs sociaux
  • appliquer l’encadrement des loyers en vue d’alléger la charge des locataires, comme le prévoit la loi dans les zones tendues
  • préserver l’équilibre économique à long terme des bailleurs sociaux afin qu’ils poursuivent leur mission sociale, entretiennent correctement leur patrimoine, accroissent leur production de logements sociaux et très sociaux, en particulier dans les communes qui en manquent, afin de reloger des ménages précaires dans de bonnes conditions et de continuer à répondre à l’ensemble des besoins sociaux.

Nous invitons largement à des initiatives communes dans les prochaines semaines :
– Jeudi 21 septembre à partir de 9h lors de la consultation du Conseil national d’habitat (CNH) sur le projet de décret retirant 5 euros à chaque allocataire, au pied de la tour Séquoïa à la Défense
– Samedi 14 octobre, mobilisations dans toute la France.

Premiers signataires : ACDL, AFOC, AFVS, AITEC, ATD Quart Monde, Attac, CFDT, CGL, CGT CLCV, CNAFAL, Coop’ HLM, COPAF, Collectif Logement Paris 14, Compagnons Bâtisseurs, Coop’ HLM, CSF, DAL, Emmaüs France, Emmaüs Solidarité, FAGE, Fédération nationale des Associations régionales de l’USH, Fondation Abbé Pierre, Fondation Armée du Salut, FAPIL, Fédération des Acteurs de la Solidarité, FEP, FNASAT Gens du Voyage, FSU, Habitat et Humanisme, Indecosa-CGT, Ligue des Droits de l’Homme, Petits Frères des Pauvres, RESEL Ile-de-France, Secours Catholique – Caritas France, SNL, SoliHa, Union syndicale Solidaires, UNCLLAJ, UNEF, UNAFO, UNIOPSS, USH, USP…

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Fonction publique : mobilisé.e.s le mardi 10 octobre

2 Octobre 2017 , Rédigé par solidaires02

Fonction publique : mobilisé.e.s le mardi 10 octobre

Depuis l'arrivée du nouveau gouvernement, les mesures négatives s'accumulent pour les agent.e.s de la Fonction publique : gel de la valeur du point indice, rétablissement de la journée de carence, perspective de 120 000 suppressions d'emplois sur les 3 versants de la Fonction publique...

Et contrairement à l'engagement fait aux agent.e.s public.que.s par Emmanuel Macron dans le cadre de sa campagne présidentielle : “J’augmenterai votre pouvoir d’achat, comme celui des salariés des entreprises : vous paierez moins de cotisations et votre salaire net sera augmenté d’autant”, la hausse de la Csg se traduira au mieux par une simple compensation dans la Fonction publique, c'est à dire sans gain de pouvoir d'achat pour les agent.e.s !

Ainsi, toutes ces mesures vont impacter fortement et négativement le pouvoir d'achat de plus de 5,4 millions d’agent.e.s public.que.s et fragilisent les services publics rendus aux usagers. C'est inacceptable. C'est totalement injuste pour les agent.e.s, et c'est totalement inefficace pour une Fonction publique de moins en moins attractive dans de nombreux secteurs. Ces mesures ne contribuent en rien à l'amélioration de la qualité des services publics. Services publics au sujet desquels nos organisations syndicales rappellent leur demande d’un débat de fond sur ses missions s’appuyant sur le bilan des réformes déjà engagées.

Enfin, nos organisations rappellent leur attachement au code des pensions civiles et militaires et seront très vigilantes sur la future réforme des retraites annoncée pour l’ensemble des agent.e.s public.que.s.

C'est pour faire entendre ces profonds désaccords que les organisations syndicales appellent toutes et tous les agent.e.s à la grève, aux manifestations ou rassemblements (selon des modalités définies par les différents secteurs) pour se mobiliser le mardi 10 octobre prochain, date choisie par le ministre pour la tenue d'un rendez-vous salarial.

Elles exigent une véritable négociation salariale qui aboutisse à une réelle reconnaissance du travail, des missions et de l'engagement professionnel des agent.e.s par une augmentation du pouvoir d'achat et la revalorisation des carrières, le non rétablissement de la journée de carence et les moyens nécessaires pour permettre aux agent.e.s d'exercer leurs missions de services publics.

Paris, le 15 septembre 2017

Rassemblements et manifestations dans l’Aisne :

LAON : 10h00, devant le lycée Paul Claudel

SAINT QUENTIN : 15h00, place Lafayette (dite “place aux grenouilles”)

SOISSONS : 14h30, place de la République

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Fonction publique grève 10 octobre

30 Septembre 2017 , Rédigé par solidaires02

grève manifestations rassemblements pour une véritable négociation salariale qui aboutisse à une réelle reconnaissance du travail, des missions et de l'engagement professionnel des agent.e.s par une augmentation du pouvoir d'achat et la revalorisation des carrières, le non rétablissement de la journée de carence et les moyens nécessaires pour permettre aux agent.e.s d'exercer leurs missions de services publics.

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IVG mobilisons nous !

23 Septembre 2017 , Rédigé par solidaires02 Publié dans #féminisme

Mobilisation pour le droit à l’avortement partout en Europe !

Les villes se mobilisent !

 Paris/Ile de France : le 28 septembre - Rassemblement 18h30 - Place de la République ;

 Douarnenez : le 28 septembre - Rassemblement 19h - Place de la Mairie ;

 Lyon : le 16 septembre – 14h30 - Tour opérator des consulats – Départ 14h30 ;

le 28 septembre -18h30 – Rassemblement place de la Comédie ;

 Marseille : le 28 septembre - 18h - Rassemblement sous l’ombrière au Vieux Port ;

 Nice : le 28 septembre - Médiathèque ;

 Toulouse : le 23 septembre - soirée/débat à 19h à l’Espace des Diversité, 38 rue d’Aubuisson ;

Le 28 septembre – 18h - Rassemblement devant l’Hôtel Dieu Saint Jacques ;

 Perpignan : le 28 septembre - 19h - au Casal 23 rue du Lycée ;

 Rennes : le 26 septembre – 20h – Conférence : l’avortement : un droit acquis ? ;

le 28 septembre – 18h – Rassemblement Place de la République ;

 Saint Brieux – le 28 septembre – 12h – Rassemblement Place Salvador Allende ;

 Valence : le 29 septembre - 17h30 – Rassemblement Place de la République ;

 Orléans : le 21 septembre – 18h – Rassemblement Place de la République ;

 Grenoble : le 23 septembre – 14h – Rassemblement Place aux Herbes ;

 Lille : le 30 septembre – 14h30 – Rassemblement Place de la République ;

 Tours : le 30 septembre – 15h – Place Jean Jaurès ;

 Montpellier : le 28 septembre – 18h – Place de la Comédie ;

 Le Havre – le 28 septembre -18h – rassemblement à Coty (côté A.France) ;

 La Rochelle – le 28 septembre – 18h – Place de Verdun ;

 Clermont Ferrand – le 28 septembre – 18h – Place de Jaude

Aujourd’hui, le droit à l’avortement au sein de l’Europe relève de la compétence de chaque Etat. Interdit, sous contrainte, attaqué… l’IVG doit être reconnu comme un droit fondamental. Une campagne européenne s’organise : pétition, lettre aux élu-es, rassemblements... avec comme point d’orgue le 28 septembre prochain où nous appelons, partout en Europe, à des mobilisations pour conforter ou obtenir ce droit.

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